« Habituellement, les saints sont fêtés à l'anniversaire de leur mort.
Or Jean Baptiste, lui, est fêté le 24 Juin, jour anniversaire de sa naissance .
Pourquoi ?
La raison est dans l'évangile, en Jn(3,30), quand Jean dit :
"Il faut que lui grandisse
et que moi je décroisse."
Noël est le 25 décembre, après le solstice d'hiver, quand les jours commencent à remonter, car avec Jésus, Lumière du monde, c'est la Lumière qui arrive dans le monde.
Lui, Jean Baptiste,,doit décroitre, diminuer. Alors sa fête est souhaitée le 24 Juin, 6 mois avant la naissance de Jésus, soit après le solstice d'été quand les jours commencent à diminuer.
Noël a remplacer une ancienne fête païenne, la fête de la lumière.

»

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Geneviève - 25 juin 2024 - 8:08

« « On peut les compter sur les doigts d'une main ceux dont la naissance est annoncée par un ange comme Gabriel.»
Peut-être que c’est juste parce qu’on ne sait pas tout de la naissance de chaque enfant? En commençant par soi-même sur sa propre naissance. Et ce que l’on en sait, comment on le vit, l’interprète, l’analyse?
« Certains pensent qu'ils sont dans le désert et qu’ils y resteront toujours. Ils n'ont plus d'espérance. Ils n’avancent plus. »
Qui dit/pense qu’ils n’avancent plus? Eux-mêmes ou d’autres?
J’aime beaucoup l’épisode de la femme adultère. Tous sont à l’arrêt, même Jésus! Les premiers à se remettre en marche sont ceux qui jugeaient et étaient prêts à condamner. A la femme adultère Jesus dira d’aller. On peut donc supposer qu’elle est repartie elle aussi. Seule? Du même côté que les autres? Dans une autre direction? En ne péchant plus? Le texte ne le dit pas. Le dernier à repartir, c’est Jésus. Il poursuit sa vie, un jour après l’autre. Sans compter le nombre de fois où il s’arrête… pour dormir au fond d’une barque en pleine tempête, enseigner ces « petits camarades » ici et là, prier à l’écart, ou juste se reposer…
Alors je ne sais pas si c’est par Jean Baptiste, par Jésus, ou par quelqu’un d’autre, qu’une personne se remet en marche, mais ce que je sais c’est qu’il est facile de se tromper sur qui avance, dans quelle direction, qui est à l’arrêt, pourquoi et pour quoi.
Faire des pauses, s’arrêter, c’est la vie, jusqu’à la « pause éternelle »! »

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Isabelle - 24 juin 2024 - 4:27

« Ces mots me touchent énormément , j' ai un grand -frère Jean qui a vécu cela . Toute sa vie dans la souffrance . Merci mon Dieu . »

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Lucas - 24 juin 2024 - 3:40