« Prière :
Seigneur Jésus,
rends-nous attentifs aux appels de l'Esprit,
et donne-nous la force d'y consentir humblement
dans les tâches et les rencontres d'aujourd'hui,
pour qu'au soir venu nous puissions
encore et toujours Te rendre grâce,
Amen »

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Geneviève - 30 mai 2024 - 14:42

« Quelle joie d’écouter votre voix lumineuse, Soeur Anne-Claire ! Je me crois au Rosaire ! Comme il est bon se laisser conduire dans la confiance vers une voie qui s’ouvre soudain ! L’aveugle est impressionnant d’élan vital, dans notre monde qui prépare une réforme de mort. Il donne envie de se lever à sa suite qui nous emporte sur le chemin de Jésus. Ouvrons les yeux et les cœurs ! »

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Brigitte - 30 mai 2024 - 6:41

« Pardon ma soeur, mais vous n’auriez pas oublié la foule nombreuse? et beaucoup de gens qui rabrouent l’aveugle pour le faire taire? Peut-être même quelques disciples parmi ses gens? (A moins que cela se passe après l’épisode où Jésus leur dit de laisser venir à lui les petits enfants et qu’ils aient compris la leçon?) Mais l’aveugle crie de plus belle. Cependant il ne crie pas n’importe quoi, il lance juste, comme un SOS, « aie pitié de moi, Fils de David ». Parfois il faut avoir l’ouïe bien fine, une oreille bien exercée, pour entendre un appel de détresse dans les cris d’un aveugle, au milieu d’une foule nombreuse qui veut le faire taire ou qui ne parle pas ce « langage » et ne comprend pas. Ce qui conduit plutôt à rabrouer qu’à appeler, ou être appelé…
Écouter et entendre, pas si simple, pas plus parfois que crier la « bonne formule » pour être entendu, et entendu de la « bonne personne », pour ensuite répondre au « bon appel » et de la « bonne façon » en suivant la « bonne personne ».
Alors confiance, certes, mais encore faut-il savoir en quoi, en qui, pourquoi? Pour se mettre en route, en marche, pour aller où, en suivant qui?

Voir, s’apercevoir, que l’on ne voit finalement pas grand chose, et reprendre la longue et plus ou moins difficile marche de la vie, de jour comme de nuit, sûre de rien, seulement en espérant… »

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Isabelle - 30 mai 2024 - 5:56

« Bonjour,
Merci pour votre méditation sœur Anne-Claire.
C’est mal :
Lorsque j’ai un appel, c’est plutôt du stress et de l’angoisse qui se déclenche en moi.
C’est dire tout le chemin que j’ai encore à parcourir pour être serein dans ce monde indescriptible et blessant.
Peut-être ne vois-je pas Jésus dans les appels téléphonique ?
Néanmoins, je décroche et ne laisse que très rarement la boîte vocale répondre pour moi.
Un jeudi de lumière pour mes frères et sœurs en Christ.





»

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Vincent H - 30 mai 2024 - 5:33